Dans sa déclaration nº 208 du 31 Mai 2011, l’ OMS / IARC classifie les champs électromagnétiques des ondes radioélectriques « comme peut-être cancérigènes pour les humains (Groupe 2B*), basé sur un risque accru de gliome, un type malin du cancer du cerveau, associé à l’utilisation du téléphone portable ».
Cette classification ne concerne pas que les téléphones portables mais bien la catégorie des hyperfréquences. Sont donc inclus les téléphones portables, le WiFi, les DECT, Babyphones, Antennes relais, Bluetooth….
L’OMS avait déjà classifié les champs magnétiques d’extrêmement basses fréquences dans cette même catégorie en 2001.
Rappelons aussi que l’amiante, le DDT, le plomb… sont aussi passé par cette catégorie avant de rejoindre la catégorie 1A.
C’est l’étude Interphone qui a permis cette classification.
« il est important de prendre des mesures pragmatiques pour réduire l’exposition comme des dispositifs main libre ou l’envoi de SMS. »