Au cours du 4 séminaire international « EMFs and biological effects », qui s’est tenu à Kunming, en Chine, du 12 au 16 septembre, Zhengping Xu, de l’université Zhejiang, a montré que des cellules exposées à un rayonnement pulsé de 1800 MHz de 3 W/Kg durant 24 heures présentait une hausse statistiquement significative des dommages de l’ADN. Comme le rappelle Microwave News, les résultats de Xu sur les cassures de brins d’ADN provoquées par radiofréquences rejoignent les conclusions d’un nombre croissant de labos de bioélectromagnétique. Mis en évidence pour la première fois en 1995 à l’Université de Washington, à Seattle, par Henri Lai et N. P. Singh, cet effet génotoxique est également ressorti dans l’étude européenne Reflex, rendu public l’an dernier.
Les Hyperfréquences classées prioritaires dans la classification de la priorité des études pour 2025-2029, par le CIRC
La classification des études prioritaires pour 2025-2029 par le CIRC: les hyperfréquences à priorité haute. Tous les 5 ans le Centre International de...